Changement d’adresse

14 02 2011

Bonjour à tous, j’écris ce dernier article dans ce blog,

Vous pourrez me retrouver sur le blog à l’adresse suivante : Zikonweb.
A bientôt





Youtube’s got talent !

11 12 2010

Avec des millions de vidéos postées sur Youtube, on trouve tout et n’importe quoi.
Musicalement parlant, Youtube a permis à de jeunes artistes de se faire signer sur des labels, comme récemment le chanteur canadien Justin Bieber.
Certains, à défaut de connaître cette gloire, postent sur la plus grande plateforme de partage de vidéos, leurs covers des tubes du moment. Avec 200 000, 500 000 vues sur leurs vidéos, ils se sont constitués leur groupe de fans, devenant ainsi des « stars sur Youtube ».

Il m’arrive de visionner ces covers et mon attention s’est particulièrement portée sur quelques chanteurs qui, selon moi, mériteraient qu’on y prête plus attention.

De StormParmi eux, DeStorm , chanteur et compositeur. Sa particularité ? Reprendre les tubes version beatbox et j’adhère !
Voilà pourquoi je me rends régulièrement sur sa chaîne DeStorm ! Tous les goûts étant dans la nature, je vous laisse juger de ses prestations avec une cover de « Find your love » de Drake (r’n’b) !

lydia paekAutre découverte : Lydia Paek que je suis depuis pas mal de temps déjà. Je l’avais déjà découverte dans Dance Crew USA (le concours de danse de référence aux States ) où elle s’était produite avec son crew Quest Crew mais aussi Boxcuttuhz. Après avoir dévoilé ses talents de danseuse, elle nous montre l’étendue de ses capacités vocales via sa chaîne Yuukkes.
Sa reprise de Unthinkable (Alicia Keys) a été visionnée 507 792 fois et ça vaut vraiment le coup de l’écouter !

anhaylaLast but not the least, Anhaylarene qui apporte vraiment une touche personnelle dans ses covers. Elle reprend les chansons la plupart du temps à la guitare et n’hésite pas à faire des arrangements comme ce fut le cas avec Neighbors Know My Name de Trey Songz mais aussi « Sweet dreams » de Beyoncé !
D’ailleurs, c’est avec sa cover de Sweet dreams qu’elle s’est présentée à la Wynn Cover Competition (comme son nom l’indique, une compétition de reprises) et qu’elle a gagné ! Si vous êtes conquis, rendez-vous sur son site http://www.anhayla.com/. Ses propres compos y sont en écoute gratuite.
Voici sa cover de « Sweet dreams » aussi disponible sur sa chaîne Youtube Anhaylarene





Akhenaton ne croit plus dans les majors et lance un label en ligne

22 11 2010

Akhenaton, connu pour être membre du groupe IAM, lance une nouvelle formule sur le site Me Label, qu’il a co-créé pour proposer une distribution dématérialisée de la musique sur Internet. Interrogé par Tom’s Guide, il explique que « si on attend que les maisons de disques trouvent des solutions, elles ne viendront pas ». C’est même selon lui une stratégie de groupe, puisque « Universal c’est qui ? C’est SFR, Vivendi, (…) ce qu’ils ne vendent pas en disques, ils le gagnent en abonnement internet ».

L’artiste entrepreneur propose donc avec Me Label une formule clairement destinée aux fans, sans l’intermédiaire d’une maison de disques. « Pour un abonnement au prix d’un album, 14,99 € par an, on a un titre original, enregistré mixé et masterisé par mois. On propose tout au format WAV. Le MP3 pourri, on le propose aussi pour celui qui aime ça. Mais la majorité des inscrits téléchargent en WAV. À fin de l’année, on obtient donc une douzaine de titres qui sont tous disponibles en multitrack », décrit Akhenaton.

Comme c’était le cas sur son album Sol Invictus en 2001, tous les morceaux sont disponibles dans un fichier de 12 pistes, avec un logiciel qui permet de les remixer et de partager les remixes. « À l’époque j’avais reçu 3500 remixes. Je m’étais alors dit : le futur il est là », raconte le chanteur.

Déjà lancé discrètement depuis 3 mois, le site a rassemblé jusqu’à présent 500 abonnés, pour un seuil de rentabilité annoncé à 2 000 abonnés, soit 30 000 euros annuel. Une somme très raisonnable, qui ne représente que 2 500 euros de chiffre d’affaires par mois. Reste à voir s’il peut être viable pour des artistes qui n’ont pas déjà acquis une certaine notoriété.

Source : Numerama





Irma en première partie du show de Diam’s

17 04 2010

Auteur, compositeur et interprète à tout juste 20 ans, Irma a été choisie par Diam’s pour assurer les premières parties des concerts de la rappeuse.

Cette jeune camerounaise s’est d’abord faite connaître via le label MyMajorCompany.
Son premier album est en cours de mixage et devrait sortir à l’automne.
Vous pouvez d’ores et déjà écouter quatre de ses compos – mêlant soul et folk – sur sa page MyMajorCompany !

En complétement, voici donc sa prestation lors d’un concert de Diam’s à Orléans.





Kiss Kiss Bank Bank, la solution pour financer vos projets artistiques !

13 03 2010

Kiss Kiss Bank Bank, la solution pour financer vos projets artistiques !

A l’heure où les premiers labels participatifs déposent le bilan, Kiss Kiss Bank Bank confirme son modèle radicalement différent basé sur l’intermédiation entre les artistes et les internautes en lançant sa V1 le 3/03/2010.

Sur Kiss Kiss Bank Bank.com,les artistes signés sur des labels indépendants financent et développent leurs projets avec leurs communautés de fans ou d’amis en conservant 100% de leurs droits.

Le principe est simple : plus l’internaute participe, plus il s’offre de proximité avec l’artiste et son projet.

Rafale, du label Rise, a réussi sa levée de fonds sur Kiss Kiss Bank Bank destinée à la production de ses deux Maxis.

Deux semaines après l’ouverture de sa V1, Kiss Kiss Bank Bank annonce que Greenshape, dernière signature du label Sober&Gentle, produira, grâce à la participation des KissBankers, son premier album avec Mark Daumail de Cocoon dans le studio de Bjork en Islande.

Artistes et labels indépendants, Kiss Kiss Bank Bank est l’OUTIL digital participatif idéal pour la création et le développement de vos projets.

Le principe de Kiss Kiss Bank Bank est simple :

Permettre aux artistes signés par des labels indépendants de financer et développer leurs projets avec le grand public, leurs fans ou leurs communautés d’amis.

L’Artiste présente son projet sur une page dédiée.

Il fixe le montant visé pour son projet.

Il fixe les bonus qu’il délivrera aux internautes en fonction du niveau de leurs participations.et plus ces dernières sont élevées, plus l’artiste offre de proximité avec son projet :

Des albums, des places de concerts, des inédits, des backstages, des aftershows, des dédicaces, des invitations en studios et aux répétitions, crédits dans les livrets, des chansons sur mesure, des featurings, des diners avec le management, des rencontres avec les artistes, des concerts à domicile, des DJ sets à domicile, etc.

Parmi les bonus proposés, l’artiste pourra choisir de partager avec les Kiss Bankers un pourcentage des recettes nettes de son projet, pendant une période donnée tout en conservant 100% de ses droits.

Attention, cette promesse est un engagement fort vis à vis de la communauté de fans ou d’amis de l’artiste. Kiss Kiss Bank Bank éliminera définitivement les artistes qui ne respecteraient pas leurs engagements.

Contrairement aux labels participatifs, dépendants de la rentabilité de leurs artistes, le modèle économique de Kiss Kiss Bank Bank fonctionne grâce à un pourcentage prélevé sur les levées de fonds des projets. Ce qui rend son modèle beaucoup plus solide. A terme, c’est donc le nombre de projets qui fera le succès du modèle de Kiss Kiss Bank Bank.

Une expérience inédite, et le plaisir de contribuer à la naissance ou au développement de projets artistiques divers et variés. Telle est la promesse principale proposée aux Kiss Bankers.

Tous les projets seront validés par Kiss Kiss Bank Bank selon des critères de qualité et de fiabilité consciencieusement établis.

www.kisskissbankbank.com

Source : Upformusic.com





RapChamp.com, l’American idol version hip-hop

5 03 2010

Rapchamp

Le groupe Mind Conceive, Inc a inauguré début février le lancement de RapChamp.com, site de battle musicale pour artistes hip-hop.

Les objectifs du site

D’une part, permettre à ces artistes de montrer l’étendue de leur flow, dégainer leurs plus belles punchlines et, au passage, se faire des fans.
De l’autre, faire découvrir aux internautes de nouveaux sons et artistes. A eux, par la suite, d’élire les « meilleurs » rappeurs hip-hop.

Comme dirait LeVar Dixon, fondateur du site, c’est une sorte d’American Idol version hip-hop.

Comment participer ?

Pour concourir, les musiciens doivent se créer un compte sur le site http://www.rapchamp.com, y déposer une compo originale et ensuite se lancer dans une campagne de promotion auprès de leurs fans via le réseau social de leur choix (Twitter, Facebook ou MySpace).

Les récompenses à la clé

Outre une petite renommée, les artistes pourront remporter plusieurs prix tels que :

  • un passage en studio
  • des rencontres avec des dirigeants de labels
  • des featurings sur des mixtapes
  • une participation à la tournée nationale du Rap Champ Tour, etc




Labels participatifs, les raisons d’un échec

1 03 2010

Homepage Sellaband

Après le français Spidart, qui fut l’un des premiers à lancer un label participatif sur internet en France, c’est au tour du pionnier hollandais du genre, Sellaband, de rendre les armes. Le site, qui avait fermé officiellement pour des raisons de maintenance, vient de confirmer qu’il est en redressement judiciaire et en quête d’un repreneur.

En dehors de MyMajorCompany avec Grégoire, aucun acteur du secteur n’est parvenu à transformer l’essai de manière convaincante. Et on attend toujours de MyMajor que plusieurs artistes financés par les internautes et qui ont déjà rempli leur jauge depuis des mois soient enfin lancés sur le marché.

Même lorsqu’il ne s’agit pas de parfaits inconnus, la sauce des labels participatifs ne semble plus prendre. Le rappeur américain Chuck D, qui a tenté de lever 250 000 dollars auprès des internautes sur Sellaband, afin de produire un nouvel album de Public Enemy, n’a récolté que 70 000 dollars en quelques mois, et les premiers fans-producteurs commencent à retirer leurs billes.

Sur KissKissBankBank, l’icône des années 1980 Cock Robin n’est pas plus parvenu, près de cinq mois après le lancement de son appel de fonds, à financer la production d’un album live avec l’aide des internautes. Sa jauge atteint à peine les 2000 € investis par une soixantaine de fans, sur un objectif compris entre 30 000 et 60 000 €.

Comment analyser les raisons de cet échec ? La crise économique n’est certainement pas étrangère à la faible propension du public à financer en amont la production d’artistes émergents, d’autant que les structures de production, de promotion et de distribution ne semblent pas suivre derrière. Au delà du financement, c’est tout un éco-système de production qui fait défaut. La première gratification du fan-producteur, qui est de voir l’album financé sortir, n’est même pas garantie.

Soutenir l’investissement

La première erreur du modèle a probablement été de vouloir se substituer, en aval, aux labels eux-mêmes. La France ne manque pourtant pas de structures de production indépendantes, voire associatives, susceptibles de s’associer à ce genre de plateformes pour faire émerger de nouveaux talents.

En dehors de NoMajorMusic (devenu BuzzMyBand), qui a déjà mis sa plateforme directement à disposition des labels pour lancer des appels de fonds et financer, au moins partiellement, certains de leurs projets (à l’instar de Roy Music, pour le DVD de Mademoiselle K, par exemple), aucun acteur du secteur n’a joué la carte d’un partenariat étroit avec le tissu industriel de la production indépendante en France, qui compte des milliers de labels pouvant servir de relais dans le développement des artistes financés par le public sur internet.

Ces labels, au demeurant, ont besoin de nouvelles sources de financement et de pouvoir mutualiser les risques qu’ils prennent dans le développement de nouveaux talents. Des modèles d’association très ouverts peuvent être imaginés. Et bien des modes de gratification des fans-producteurs qui ne les transforment pas nécessairement en « actionnaires ». C’est une des opportunités manquées, jusqu’à présent, par les plateformes participatives.

Il y a un autre aspect très peu incitatif pour les internautes. Alors que le moindre investissement dans une PME permet de bénéficier d’une réduction d’impôt, ce n’est pas le cas pour les fans-producteurs qui soutiennent financièrement la création musicale à la source par l’intermédiaire de ces plateformes. Certes, le modèle doit encore faire ses preuves, et un partenariat étroit avec les acteurs de la production indépendante doit se nouer, mais défiscaliser l’investissement dans la production participative est certainement une voie à explorer, à l’avenir, pour soutenir la création musicale en France.

Source : Electrolibre.info





La survie de l’industrie musicale passe par les réseaux sociaux

13 02 2010

Voici un article paru sur le site itrgames.com concernant le point de vue de Mark Mulligan sur l’avenir de l’industrie musicale qui, selon lui, ne peut se faire que via les réseaux sociaux.

A l’occasion du MIDEM, Forrester publie le diagnostic de santé de l’industrie musicale et dessine les grandes tendances du secteur dans les années à venir. Et ce, par le biais d’une enquête menée auprès de 14 000 consommateurs européens et 170 entretiens avec des cadres dirigeants du secteur musical.

Dans cette étude, Mark Mulligan explique notamment comment l’industrie musicale doit réagir au passage « de l’ère de la distribution à celui de la consommation », pour se reconstruire alors que la décennie numérique l’a amené à la crise qu’elle traverse aujourd’hui. L’an dernier encore, effet, les revenus des maisons de disques européennes et américaines ont chuté. Elles aujourd’hui gagnent 58% de moins qu’il y a dix ans. Leurs revenus sont en effet passés de 25,6 milliards d’euros en 2000 à 10,8 milliards d’euros fin 2009.

Il y a dix ans, l’industrie musicale exploitant un modèle extrêmement simple qui se bornait à la simple vente de disques, le CD en tête. Dix ans plus tard, la musique numérique, la prolifération des systèmes d’écoute portables, les possibilités de connexion à Internet, les modes de consommation et les mentalités ont évolué et ont fait chuté les ventes de CD. Aujourd’hui, les utilisateurs ont pris le contrôle de leur musique. Les CD peuvent se ripper, les pistes se numériser dans différents formats et s’échanger facilement (sur Internet, en Bluetooth, sur clé USB, etc.), sans que les maisons de disque n’aient le moindre contrôle sur ce processus.

La prolifération des services gratuits (comme Kazaa ou YouTube) a également incité les utilisateurs à se demander pourquoi ils auraient à payer pour de la musique alors qu’ils peuvent écouter gratuitement à peu près partout. Le plus importants, c’est que les utilisateurs sont devenus plus exigeants et veulent désormais décider eux-même de tout. Ils veulent choisir le titre à écouter, le dispositif sur lequel ils souhaitent l’écouter, le moment et l’endroit. Ils exigent donc des services à la demande extrêmement flexibles.

L’arrivée de l’iPod et l’iTunes Store il y a quelques années a permis de mettre un peu d’ordre sur ce marché de la musique numérique en proie au piratage, mais le modèle du paiement à l’acte (à 0,99 euro/le titre) imposé par Apple ne permet toujours pas aux maisons de disque de compenser les pertes liées à la baisse des ventes de CD.

Mark Mulligan invite donc désormais les maisons de disque à repenser leurs modèles économiques concernant la distribution de musique numérique, à être plus audacieuses, à innover afin d’attirer les consommateurs, de rendre la consommation musicale plus facile, plus interactive et plus qualitative. « Il faut améliorer l’expérience utilisateur » note-t-il.

Les artistes aussi ont un rôle à jouer. Ils doivent devenir les partenaires de leur succès et pas uniquement être des simples « employés » ou les « produits » d’une maison de disque. Les éditeurs doivent ainsi travailler de manière plus étroite et plus intelligente avec eux afin de leur donner une réelle valeur. Certains éditeurs proposent même de les rétribuer plus généreusement afin de les encourager à devenir de véritables artisans de leurs succès. « Peut-être qu’en ayant plus à gagner, mais aussi plus à perdre, les artistes travailleraient plus durs pour assurer leur succès » explique Guy Hand, le patron d’EMI.

Enfin, Mark Mulligan insiste sur le fait qu’il est important de profiter de l’audience et du succès des réseaux sociaux et des outils de réseautage en général. « Les réseaux sociaux redéfinissent complètement la relation entre les artistes et leur auditoire » explique-t-il, « cela a d’ailleurs permis de créer de nouvelles voies pour faire émerger certains artistes et générer de nouvelles sources de revenus pour les maisons de disques ».

Pour lui, le succès des services musicaux dépendra de la mobilisation croissante du public autour des réseaux sociaux.





Créer sa page fan sur Facebook : le guide pour les musiciens

11 02 2010

Artistes, vous comptez ou venez de créer votre page fan sur Facebook?
Voici, selon Ariel Hyatt de Ariel Publicity – spécialisée dans les RP pour artistes – les applications que vous vous devez d’intégrer.

Involverhttp://involver.com
Involver
Experte en branding, cette compagnie propose moults applications à télécharger, dont deux vous seront offertes. Parmi elles, vous trouverez bien sûr, Twitter et Facebook. Vos fans auront ainsi la possibilité de voir, directement sur votre page fan Facebook, vos cinq derniers tweets et vos six dernières vidéos postées sur Youtube.

iLike Music Tabhttp://tinyurl.com/FacebookiLikeApp
ilike
Avoir un feed Twitter,vendre votre musique ou personnaliser vos alertes concerts, etc… tout cela vous sera possible une fois votre compte crée sur ilike.com.

Poll Daddy Pollshttp://tinyurl.com/facebookpolldaddy
polldaddy
Grâce à cette application, vous pouvez sonder vos fans et savoir ce qu’ils veulent vraiment ! Les sondages peuvent être affichés sur votre blog WordPress, votre compte Twitter, votre MySpace et plus encore…

ReverbNation – My Band http://tinyurl.com/FacebookMyBand
myband
Via cette application, vous pourrez, par exemple, vendre votre musique et des places pour vos concerts ou bien mesurer votre côte de popularité (qui écoute votre musique, qui la partage…?).

Selective tweetshttp://tinyurl.com/SelectiveTweet
selective twitter
Updater son status Facebook via Twitter et ce, uniquement pour les tweets choisis. Tel est le principe de Selective Tweets. Pour rediriger l’information vers votre Fan Page, terminez chaque tweet par #fb.





Revelez vous avec le concours Deezer de talent

4 02 2010

Concours Deezer de talents3000 euros, une mise en avant sur Deezer et être en tête d’affiche au festival Europax à Clermont Ferrand du 20 au 23 mai 2010 : ça vous tente?

Le concours « Deezer de talents »

L’Adami, Deezer et le festival Europavox ont lancé le concours « Deezer de talents ».
Ce concours, destiné aux artistes « émergents » présents sur la Toile et au potentiel de diffusion européenne, a pour but d’aider un artiste à s’exporter et à bénéficier d’une exposition médiatique dans toute l’Europe.

Comment y participer

L’appel à candidature, lancé depuis le 15 janvier, prendra fin le 28 février.
Pour chaque participant, il est demandé de présenter deux morceaux originaux et une vidéo d’une prestation scénique.
Après la nomination de cinq finalistes, les morceaux de ces derniers seront mis en avant sur Deezer et les internautes pourront alors élire le vainqueur qui aura donc la possibilité de se produire sur scène au Festival Europavox.

Si vous souhaitez booster votre carrière et participer à cette aventure, rendez-vous sur le site deezerdetalents.eu pour vous inscrire.